L’affaire impliquant Oscar Jégou et Hugo Auradou, survenue lors de la tournée du XV de France en Amérique du Sud, a pris un tournant inattendu. Accusés de viol et d’agression sexuelle après une rencontre à l’hôtel Diplomatic de Mendoza, les deux joueurs nient fermement les faits. Cependant, des incohérences dans le témoignage de la plaignante soulèvent désormais des doutes majeurs.
Quels secrets se cachent derrière ces révélations choc ? Les éléments contradictoires et les enquêtes en cours pourraient bien bouleverser le cours de cette affaire complexe. Découvrez les détails troublants et les rebondissements inattendus qui continuent de captiver l’opinion publique !
Contexte explosif de l’affaire
Lors de la tournée du XV de France en Amérique du Sud, une victoire éclatante contre les Pumas a été suivie d’un scandale retentissant. Le 8 juillet 2024, Oscar Jégou et Hugo Auradou ont été arrêtés par la police argentine à Mendoza, accusés de viol et d’agression sexuelle. L’incident s’est déroulé au Diplomatic Hotel, où l’équipe française séjournait.
La victime présumée aurait rencontré Hugo Auradou dans une discothèque avant de se rendre à l’hôtel. Les événements auraient pris une tournure dramatique, entraînant des accusations graves que les joueurs nient fermement, affirmant le consentement mutuel.
Accusations et démentis
La plaignante affirme avoir été agressée par Hugo Auradou, qui l’aurait frappée et étouffée dans sa chambre d’hôtel. Selon son avocate, Oscar Jégou serait intervenu plus tard pour commettre des actes similaires. Les deux joueurs contestent ces allégations, soutenant que les relations étaient consenties.
Un rapport médico-légal a révélé de nombreuses blessures sur le corps de la victime présumée, mais l’avocat des joueurs qualifie ces accusations de “fake news”. Des incohérences dans le témoignage de la plaignante et un rapport psychologique remettent en question la véracité de ses déclarations.
Doutes et contradictions
Le témoignage de la plaignante est entaché par des incohérences relevées dans le rapport d’expertise psychologique et psychiatrique. Les experts ont noté une tendance à l’exagération et l’absence de signes cliniques de troubles post-traumatiques, souvent présents chez les victimes de violences sexuelles. Ces éléments jettent un doute sur la crédibilité de son récit.
De plus, son refus de remettre son téléphone aux enquêteurs alimente les suspicions. Ce geste empêche l’accès à des échanges potentiellement cruciaux avec les accusés. Ces facteurs pourraient influencer le déroulement de la procédure judiciaire en cours, fragilisant l’accusation.